Akira De Carlos est une force dynamique qui incarne l’intersection de l’identité et de l’activisme. En tant que Juif·ve sépharade afro-indigène queer originaire de Luanda, en Angola, son parcours témoigne de la richesse de la diversité culturelle. Iel occupe actuellement le poste de directeur·trice des programmes pour le Réseau de développement et de prévention afro-canadien (RDPAC), tout en restant fondamentalement un·e organisateur·trice communautaire et un·e facilitateur·trice d’apprentissage dans l’âme.
Basée dans la ville dynamique de Tioh:tke/Montréal, la passion d’Akira converge vers l’habilitation des minorités racisées par le biais d’une éducation accessible, avec un accent particulier sur la justice environnementale. La co-fondation de la coopérative agricole afroautochtone noire, Sankofa, souligne son engagement à promouvoir les espaces de connexion, de guérison et de récupération des terres ancestrales.
Sa vaste expérience de collaboration avec diverses ONG se traduit par des initiatives qui soutiennent les cadres d’antiracisme et d’anti-oppression au sein des structures organisationnelles. Modérateur·trice chevronné·e, expert·e-animateur·trice de discussions sur la mobilisation des jeunes, la justice climatique et la lutte contre le racisme anti-Noir·e·s, iel s’intéresse à des questions urgentes telles que l’abolition, le logement abordable et la sécurité alimentaire.
S’inspirant de son éducation en tant qu’itinérant·e transculturel·le, Akira articule avec éloquence l’importance de l’intersectionnalité et de la diversité culturelle. Son approche nuancée donne de la profondeur à son travail, amplifiant les voix et les expériences souvent marginalisées dans le discours dominant.
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